posté le 06-06-2015 à 23:45:48

Oeuvres de bienfaisance

 1953

 

Gala organisé par l'acteur Danny Thomas pour la création du Jude's Hospital, à Memphis dans le Tennessee. Lors de cette soirée donnée au Hollywood Bowl, elle chanta avec Jane Russell.

 

 

 Avec Robert Mitchum

 

 

 1953

 

Soirée donnée au Ciro's, pour la Damon Runyon Cancer Fund 

 

 

 Avec Walter Winchell et Betty Grable 

 

 

 Avec Walter Winchell

 

 

 Avec Betty Grable

 

 

1953

 

Décembre : Toys for tot campaign sponsorisée par les US Marines Corps, afin de récolter des jouets pour les enfants défavorisés. 

 

 

 1955

 

30 mars : Soirée au Mike Todd's Circus au profit de la Fondation pour l'arthrose et les affections rhumatismales 

 

 

 Marilyn avait présenté la future soirée, le mois précédent.

 

 

 

 

1955

 

Novembre : Thanksgiving march of muscular dystrophy drive organisée par l'association internationale des pompiers.

 

 

 1957

 

Défilé de mannequins au Waldorf Astoria, à New York, pour la " Dime March", pour venir en aide aux enfants atteints de poliomyélite.

 

 

 

 

 1958

 

Publicité pour la vaccination contre la poliomyélite pour encourager les gens à se faire vacciner.

 

 

1962

 

Fevrier : Au cours de son voyage au Mexique, elle visita un orphelinat et fit un chèque de 10 000$.

 

 

 Elle adhéra à la SANE, une organisation contre les armes nucléaires (Comité National pour une politique nucléaire saine).

 

1962

 

Dernière apparition publique au Chavez Ravin Dodger Stadium, à Los Angeles, le 1er juin, jour de ses 36 ans, au profit de la lutte contre une maladie musculaire.

 

 

 Dans le milieu du cinéma et parmi ses amis, elle avait la réputation d'avoir une grande générosité, car elle aidait les gens dès qu'elle le pouvait.

 

Sa doublure, Evelyn Moriarty se souvient que sur le tournage de « Let's make love » (1960), elle fit un chèque de 1000$ à l'un des membres de l'équipe technique, qui avait besoin de cette somme pour payer l'enterrement de sa femme.

 

En reconnaissance de son amour pour les enfants, l'écrivain Gloria Steinem et le photographe George Barris créèrent un fonds d'aide aux enfants nécessiteux en versant, comme premier apport, les droits d'auteur de leur ouvrage « Marilyn Norma Jeane ».

 

Source Cursum Perficio 


 


 
 
posté le 06-06-2015 à 22:56:03

Récompenses-Prix

1945

 

Certificat d'Excellence pour son travail à la Radio Plane Munitions Factory

 

1948

 

Miss Press Club par le Los Angeles Press Club  

 

 

 1950

 

Miss Morale of the Marine cops

 

 

 1951 

 

Miss Cheesecake of the year 1952 par le magazine Stars and Stripes

 

 

 Elue "La fille qu'ils aimeraient le mieux examiner" par la 7ème division du Corps médical

 

Elue "La fille qu'ils aimeraient le mieux arrêter" par All Weather Fighter Squadron 3, San Diego

 

Elue "Le cadeau de Noël que tous les GI voudraient trouver dans leur cheminée" 

 

 

 Elue "La fille la plus apte à dégeler l'Alaska" par les soldats des îles Aléoutiennes

 

 

 1952 

 

Elue "La plus jeune personnalité du box-office"

 

 

 Elue "La débutante la plus prometteuse" par le magazine Look

 

 

 1953

 

Reçoit le Halo for a saintly sinner pour son aide aux enfants scolarisés

 

Prix World Film Favourite par The International Press of Hollywood

 

Prix To the sweetest girl in motion pictures par la 20th Century Fox

 

Elue "La fille qui a fait le plus de publicité dans le monde"

 

Miss NAS (Naval Air Station)

 

 

 

 Prix New faces award par le magazine The Detroit Free Press

 

 

 Prix "Actrice la plus populaire de l'Etat d'Arkansas"

 

 

 Recoit "L'étoile qui est montée le plus vite dans le ciel d'Hollywood en 1952" par le magazine Photoplay

 

 

 Prix "La meilleure jeune personnalité du box-office" par le magazine Redbook

 

 

 Prix de "La meilleure amie des diamants" par l'Académie de joaillerie

 

 

 Miss Press Club par le Los Angeles Press Club

 

 

 1954

 

Reçoit le Award of Achievement pour son classement dans le Top ten money making star en 1953

 

 

 Prix de "La meilleure actrice" par Photoplay Magazine Awards

 

 

 Prix le National Movie Poll Award pour "La meilleure actrice de l'année 1953"

 

 

 Prix par la légion américaine pour sa prestation en Corée

 

 

 Prix Exhibitor Laurel Award

 

 

 1956 

 

Nominée pour La meilleure interprète étrangère par les British Academy Awards pour Sept ans de refléxion

 

Recoit le certificat "Women's division of the Jewish philantropes of New York City" (La division des femmes des philantropes juifs de New York City)

 

 

 1958 

 

Nominée pour La Meilleure interprète étrangère pour le Prince et la danseuse par les British Academy Awards

 

1959

 

Reçoit l’étoile de cristal pour La meilleure interprète étrangère

 

 

 Prix "David di Donatello" pour La meilleure interprète étrangère en 1958

 

 

 Reçoit le trophée Ducal actiz de cine du Chili

 

 1960

 

Prix "La meilleure interprète de comédie en 1959" par les Golden Globe Awards pour "Certains l'aiment chaud"

 

 

 1962

 

Prix de L'actrice préférée dans le monde en 1961 par les Golden Globe Awards

 


 


 
 
posté le 06-06-2015 à 18:45:24

Citations et écrits personnels

Citations (Extraits)

"On ne m'a jamais dit que j'étais jolie quand j'étais petite fille. On devrait dire à toutes les petites filles qu'elles sont jolies, même si ce n'est pas vrai"

"J'ai une grosse tête, vous savez. bien sûr, il n'y a rien dedans mais elle est grosse tout de même"

"Les gens me regardent comme si j'étais une sorte de miroir au lieu d'une personne. Ils ne me voient pas, ils voient leurs propres pensées cachées, puis ils se blanchissent en prétendant que j'incarne ces pensées secrètes"

"Si je suis une star, c'est parce que le public l'a voulu. Ni moi, ni les studios, juste le public"

"Je n'appartiens qu'au public et au monde. Non pas parce que je suis talentueuse ou jolie, mais parce que je n'ai jamais appartenu à personne"

"J'essaye de me prouver que je suis un individu. Alors je pourrai me convaincre que je suis une actrice."

 "S'il vous plaît ne plaisantez pas à mon sujet. Terminez l'interview par ce que je crois... Je veux être une artiste, une véritable actrice"

 "J'ai toujours pensé que je n'étais personne. Et la seule façon pour moi de devenir quelqu'un... et bien c'est d'être quelqu'un d'autre!"

 "L'argent ne m'intéresse pas. Je veux juste être merveilleuse"

 "A Hollywood, la vertu d'une femme est beaucoup moins importante que sa coiffure. On vous juge sur votre apparence, et pas sur ce que vous êtes. A Hollywood, on vous paiera un baiser mille dollas, et on donnera cinquante cents pour votre âme. Je le sais, parce que j'ai très souvent refusé la première proposition et mendié la seconde"

"Tous mes voyages ont été semblables. Peu importe où je suis allée et pourquoi, tout se solde par la même chose. Je n'ai jamais rien vu. Devenir une star de cinéma, c'est vivre sur un manège"

 "Je n'aime pas avoir le teint bronzé car j'aime me sentir blonde de partout"

 "Vous savez de qui j'ai toujours dépendu? Pas d'inconnus, pas d'amis. Du téléphone! C'est mon meilleur ami. Je n'aime pas faire ma correspondance, mais j'adore téléphoner à mes amis, spécialement tard dans la nuit, quand je n'arrive pas à dormir"

 "Ce que je porte la nuit? Mais... n°5 de Chanel!"

 "Je dors toujours la bouche ouverte. Je le sais parce qu'elle est ouverte quand je m'éveille"

 "Une carrière c'est fantastique, mais on ne peut pas se blottir contre elle la nuit lorsqu'on a froid"
 
Ecrits personnels (Extraits)

« je trouve que la sincérité et être simple et directe comme (possiblement) j’aimerais est souvent pris pour de la pure stupidité mais puisqu’on n’est pas dans un monde sincère – il est très probable qu’être sincère est stupide » (1955-56)

« l’enfance de chacun se rejoue tout le temps. Pas étonnant que personne ne connaisse l’autre ni ne puisse le comprendre entièrement »

« il m’est arrivé quelque chose je crois qui m’a fait perdre ma confiance. Je ne sais pas ce que c’est. Tout ce que je sais c’est que je veux travailler. Oh, Paula, j’aimerais tant savoir pourquoi je suis si angoissée. »

« je suppose que je réagis de façon trop émotionnelle aux mauvais endroits – mais si les choses n’étaient pas comme ça il est probable que je m’ennuierais -… » (1943)

« en fait la sensibilité est si pleine et si forte que c’est dangereux » (1955)

« ce n’est pas si drôle de se connaître trop bien ou de penser qu’on se connaît – chacun a besoin d’un peu de vanité pour surmonter ses échecs » (1943)

« je pense que seule une personne qui se souvient de la façon dont elle a grandi peut apercevoir clairement et distinctement le point de vue objectif et analytique que j’essaie d’avoir, même si je finis par faire quelque chose d’un peu pompeux de mes pensées relativement simples… » (1943)

« … Les femmes ont l’air sévère et critique – inamicales en général...Crainte que le réalisateur pense que je ne vaux rien. Me souviens des moments où je ne pouvais littéralement pas faire la moindre chose. Mais essayer de me reprendre en me disant que j’ai réussi des choses justes qui étaient même bien et que j’ai eu des moments excellents mais le mauvais est plus lourd à porter et je sens que je n’ai pas confiance...Déprimée folle » (début des années 50)

« plus jamais une petite fille seule et terrorisée. Souviens-toi que tu peux être assise au sommet du monde (on ne dirait pas). »

« pourquoi ai-je ce sentiment – que les choses n’arrivent pas vraiment – mais que je joue un rôle – et de cela je me sens coupable… » (1955-56)

« Je me vois dans la glace à présent, le sourcil en bataille – si je me mets très près je verrais ce que je ne veux pas voir – la tension, la tristesse, la déception, mes yeux ternes, les joues rougies par des petits vaisseaux qui paraissent comme des rivières sur une carte – les cheveux qui tombent comme des serpents. C’est la bouche qui me rend le plus triste, près de mes yeux presque morts… » (1958)

« Essayer de me faire plaisir quand je peux. Je suis déjà assez malheureuse comme ça »

« Pourquoi était-ce d’une telle importance pour moi après toute cette crise de sanglots sur scène – quand il a dit que j’étais à l’opposé de ce que font la plupart des gens dans ce pays et c’est pour ça (en partie je le précise) que des gens que tu connais t’admirent – exactement pour ça mais ta sensibilité ne serait pas la même si tu n’avais pas ces terribles appréhensions – auxquelles tu as réagi en fonction de ton expérience (passée) et que techniquement tu parviendras à contrôler mais pas à t’en débarrasser sans effets dangereux (en retournant la peur contre toi-même) jusqu’à la peur seule et en jouant seulement en fonction de ça – la peur et la peur seule » (1955)

« Pourquoi est-ce que je ressens cette torture ? Ou pourquoi est-ce que je me sens moins un être humain que les autres (toujours senti d’une certaine façon que je suis sous-humaine pourquoi en d’autres mots, je suis la pire, pourquoi ? » (1955-1956)

« Tout le monde a de la violence en soi. Je suis violente » (1955)

« C’est plutôt par détermination qu’on ne se laisse pas engloutir »

« A chaque printemps, le vert est trop vif…. » (1958) 
 
 
Extraits du livre "Fragments" 
 

 

  
 


 
 
posté le 06-06-2015 à 17:44:37

Ecoles-Habitations

Les écoles fréquentées par Marilyn
 
 
1929-1930: Hawthorn Community Sunday School, Hawthorn.

1931-1932 : Ballona Elementary and Kindergarten, Hawthorn.

1932-1933 : Vine Street School, Hollywood.

1933-1935 : Selma Street School, Hollywood.

1935-1937 : Vine Street School, Los Angeles.

1937-1938 : Lankershim School, Los Angeles.

1938-1939 : Sawtelle Boulevard School, Los Angeles.

1939-1941 : Emerson High School, Los Angeles.

1941-1942 : Van Nuys High School, Van Nuys, Los Angeles et aussi, University High School, Los Angeles.
 
  Certificat de catéchisme, Hawthorn Community Sunday School,
Ville d'Hawthorne, 1930
 

 
Marilyn (debout) 1931 Ballona Elementary. 
 

 

 1940 Emerson High School, Los Angeles.

 

 

 1941 Emerson High School, Los Angeles

 

 

 Vers les années 50, Marilyn à Van Nuys High School, photos pubs.

 

 

Les lieux d'habitations de Marilyn 

 

 

1926-1933 : Avec sa mère, Gladys à Los Angeles, et chez les Bolender (famille d'accueil), en Californie

 

1933-1935 : Avec sa mère, Gladys à Hollywood, avant que celle-ci ne soit hospitalisée.

 

1935-1936 : Famille Giffen Los Angeles, Famille Atchinson Hollywood, Famille Goddard Los Angeles, Orphelinat de Los Angeles.

 

1937-1938 : Famille Goddard Los Angeles, Famille Lower Los Angeles, Famille Martin Los Angeles.

 

1938-1942 : Famille Lower Los Angeles, Famille Goddard Los Angeles.

 

1942-1944 : Avec son premier mari, James Dougherty (dit Jim), en Californie et aussi à Catalina Island.

 

1944-1945 : Chez la mère de James, Hollywood.

 

1946 : Famille Lower, Los Angeles et aussi, dans la famille de sa tutrice, à Las Vegas.

 

1947-1954 : Hollywood, Beverly Hills, New-York.

 

1955-1962 : New York, Los Angeles, Roxbury (Connecticut), Long Island, Floride, Brentwood.

 


 
 
posté le 06-06-2015 à 17:17:27

Le carnet rouge de Marilyn

 Depuis la mort de Marilyn, ses nombreux biographes se sont tous lancés à la recherche de ce carnet rouge, qu'elle aurait acheté au printemps 1962, dans lequel elle aurait noté ses rendez-vous avec Robert Kennedy, ainsi que des informations qu'il lui aurait confié sur des sujets politiques de la plus haute importance.

 

 

 L'assistant du coroner Lionel Grandison déclara avoir vu ce carnet dans les bureaux de la police judiciaire, puis sa trace disparut. Le lundi 6 août 1962 Grandison envoya un chauffeur au Fifth Helena Drive prendre tout ce qu'il pourrait trouver susceptible de donner l'adresse ou numéros de téléphone des parents de Marilyn. Le chauffeur revint avec le carnet rouge. Grandison se souvient d'y avoir vu notés les noms des deux frères Kennedy, de Frank Sinatra, Fidel Castro, Jimmy Hoffa et des notes sur la CIA et la Mafia.

 

Un autre témoin déclara avoir vu ce carnet; il s'agit de Mike Rothmiller, ancien officier des renseignements de Los Angeles qui travaillait sous les ordres de Darryl Gates à l'OCID (bureau des renseignements sur le crime organisé). En 1978 il se retrouva en poste aux archives, où du sol au plafond s'étageaient des milliers de dossiers confidentiels; parmi ceux là il y avait une copie du carnet de Marilyn.

 

Norman Jefferies (gendre d'Eunice) lui aussi a confirmé l'existence de ce carnet; il dit que Marilyn le conservait soit dans sa chambre, soit dans un meuble-classeur du pavillon d'amis. Jefferies a déclaré que la nuit du 4 août 1962, la serrure du classeur avait été fracturée et qu'on avait pris une bonne partie du contenu.

 

Quand il retourna chez Marilyn le lundi 6 août 1962 avec Eunice Murray (la gouvernante de Marilyn) pour ouvrir la maison pour Inez Melson, il se souvient qu'Eunice Murray détenait le carnet rouge et qu'elle le donna au chauffeur du coroner. Jefferies ne put expliquer depuis quand ni comment Eunice Murray était en sa possession.

 

Bien qu'il n'ait jamais reparu, plusieurs personnes ont déclaré le tenir en leur possession.

 

En 1982 le négociant en antiquités Doug Villiers fit, au nom d'un de ses clients, une offre de 150 000$ à toute personne qui pourrait fournir ledit journal.

 

Mais les proches de Marilyn (Pat Newcomb, Ralph Greenson et Eunice Murray) nièrent l'existence de ce journal. Ils affirmèrent même que le manque d'organisation de Marilyn invalide l'idée qu'elle ait pu régulièrement prendre des notes et tenir ce type de documents.

 

Donald Spoto (ecrivain) fit remonter les premières évocations du journal intime de Marilyn à un article de 1975, publié par Anthony Scaduto.

 

En 1994, un document de la CIA fit surface, confirmant le fait que le carnet rouge avait fait l'objet de grandes préoccupations pour la sécurité nationale.

 

Source Cursum Perficio 


 


 
 
 

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